Les relations se compliquent entre les courtiers et les banques !
Nos agents commerciaux et moi-mêmes, chez "GCPARTNERS Immobiier" avons constaté auprès de nos clients que nos partenaires banquier

s se lassaient des relations qu'ils avaient avec les courtiers jusqu'à vouloir les « sortir du jeu » afin de restaurer leurs marges, bien entamées avec la baisse des taux !
Pour obtenir un prêt immobilier, près d’un français sur deux passe encore par un courtier en crédit qui le permet d’économiser du temps et de l'argent ! Ce chiffre grimpe même, d'après mes confrères parisiens, à deux sur trois en région parisienne. Et les clients acquéreurs ont si bien intégré le fait d'avoir recours aux services d'un courtier en banque dans le processus d’achat d’un bien immobilier que la part de ces derniers devrait normalement approcher les 50% sur le marché à l’horizon 2022. Mais les choses en seront peut-être autrement ? Et si les banques ne l’entendaient pas de cette oreille ?
Comment les banques déclarent la guerre aux courtiers?
Pour chercher aujourd’hui à restaurer leurs marges, les banques bloquent de plus en plus de dossier présentés par les courtiers .En supprimant alors cet intermédiaire qui perçoit une commission de 1% environ sur chaque dossier qu’il apporte, certaines banques ont fait officiellement le choix de refuser de nouveaux clients obtenus par l’intermédiaire des courtiers.Le message est clair !
Les jeunes ménages sollicitent bien plus les courtiers en banque !
Effectivement, parmi nos clients chez GcPartners, et qui plus est, nos clients a la recherche d'un terrain ou d'une maison, un sur deux consultent des courtiers en crédit immobilier pour obtenir de meilleurs avantages que par les banques..ce qui n'est pas forcément vrai car une banque peut tout à fait offrir les mêmes services qu'un courtier et ce même courtier ne gère pas le compte de son client au quotidien.
Si son conseiller de banque lui prélève des frais anormaux, alors il le consulte et s'arrange avec lui pour vous lui rembourser ses frais.
En cas de soucis, son conseiller peut être arrangeant et lui permettre de passer sa zone de turbulence.
Le HCSF appelle à prévenir une dynamique excessive de l’endettement des ménages
Dès 2020, les ménages pourraient avoir plus de mal à obtenir un crédit immobilier. Cette guerre intervient dans un contexte déjà plus compliqué : le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) réuni pour sa vingt-troisième séance, sous la présidence de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, recommande aux banques une prudence accrue dans l’octroi de prêt. Il appelle en effet les banques à prévenir une dynamique excessive de l’endettement des ménages, estimant que les risques pour la stabilité financière tendent plutôt à s’accentuer à partir d’un niveau déjà élevé. Concrètement, le HSCF préconise de limiter la durée des prêts à 25 ans au maximum et les mensualité de remboursement à un tiers de revenus. Il devrait adopter très prochainement une recommandation à cet effet. Evidemment, les courtiers en crédit ne l’entendent pas non plus de cette oreille…