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L’amateurisme n’a pas sa place dans l’immobilier ! Loic Cantin - nouveau président de la FNAIM


Notre équipe, à l'agence immobilière GcPartners, est située 5 av lajarrige à La Baule.

s'est penché sur cet article : la nomination de Loic Cantin à la présidence de la FNAIM.

(fédération Nationale des Agents Immobiliers)


L'expertise de nos conseillers et leur parfaite connaissance du marché immobilier de la presqu'ile jusqu' à Nantes sont vos atouts maîtres pour vendre rapidement et au meilleur prix votre maison, votre appartement à La Baule, Pornichet, le Pouliguen, Saint-André-des-Eaux, Guérande jusqu'à Nantes.



Je souligne deux points importants dans son interview qui résument l'amateurisme de nombreux agents immobiliers se disant professionnels alors qu'ils ne le sont pas ..

Ne se disent pas agent immobilier qui veut ...il faut une formation et une expérience suffisamment solide pour être agent immobilier ..et l'autre point touche la formation..

Bon nombre de mandataires est apparu depuis 10 ans alors qu'il n'ont pas reçu une formation suffisamment solide et qualitative qu'il leur fallait pour pouvoir prétendre accéder à notre métier et le pratiquer professionnellement.


Alors que l’immobilier devrait être chahuté dans les mois à venir, le nouveau président de la FNAIM, Loïc Cantin, prône l’union et le rassemblement.



L'objectif de Loic Cantin est effectivement d’œuvrer inlassablement pour que la loi Hoguet soit renforcée afin de défendre notre environnement professionnel, régulièrement attaqué par des tentations de relâchement et de nivellement par le bas. Concrètement, il souhaite rendre les conditions d’accès à notre métier plus restrictives et les formations professionnelles plus sélectives. L’amateurisme n’a pas sa place dans l’immobilier.Il est, par ailleurs , pour l’instauration d’une commission de contrôle et de discipline afin de remettre de l’ordre dans l’exercice de nos métiers.


Les réseaux de mandataires

D'après lui, et il a tout à fait raison, nos métiers vont être affectés par un renversement de conjoncture qui sera plus impactant que les modèles. Pour autant, on ne peut pas occuper un métier le matin et être conseiller immobilier l’après-midi. Dans l’immobilier, avoir de la volonté ne suffit pas, il faut des compétences et de la rigueur. Ce qui

intéressera le président de la FNAIM au cours de mon mandat, c’est de voir si leur mode d’exercice est compatible avec les valeurs de la Fédération Nationale des Agents immobiliers.


Le développement des réseaux de mandataires ?

Si le décret formation de la loi Alur, qui prévoit d’imposer une formation initiale pour tous les collaborateurs de 50 heures minimum, avait été publié, les agents immobiliers n’auraient pas vu le nombre d’agents commerciaux mandataires exploser. Cela fait maintenant 8 ans que la profession attend ce décret. En partie à cause de ce manquement, les agents mandataires sont passés de 4 000 en 2012 à 81 000 aujourd’hui, soit une population multipliée par 20 en 10 ans.

Par ailleurs, on ne peut pas accepter que des collaborateurs disposent d’un statut comme celui de micro-entrepreneur, qui n’est accompagné d’aucune sécurité pour travailler. C’est dans l’intérêt de tous, y compris des consommateurs, qu’ils puissent disposer d’un statut social stable et pérenne.



Vu que les taux de crédits augmentent et que l’inflation ne cesse de grimper, quelle mesure pourrait faciliter l’accès au financement ?


Depuis 1996, les taux d’intérêt diminuent de façon régulière ; la hausse de ces derniers liée à la crise des subprimes n’a été qu’un épiphénomène. Puisqu’une remontée régulière des taux est désormais certaine, il se propose d’inscrire ( NDLR: Loic Cantin), dans une future loi, la notion de portabilité du financement. Concrètement, il souhaiterait qu’un propriétaire vendeur puisse conserver son prêt immobilier dans le cadre d’une nouvelle acquisition mais aussi le céder à ses acquéreurs lors de la vente, sous condition d’éligibilité de la banque. C’est une mesure simple, lisible par tous les Français, qui ne nécessite aucune contribution de l’État. Son point fort, c’est qu’elle améliore le pouvoir d’achat des Français sans pour autant pénaliser les banques puisque les garanties seraient inchangées. Elle relève donc surtout d’une volonté politique.


(source: le journal de l'agence)





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